News du 16/03/15

De toute façon, février c'est nul.

Ça n'a que vingt-huit jours, et des fois vingt-neuf, berk.

Bonjour tout le monde !

Je ne sais pas comment vous annoncer ça, mais ma productivité n'est pas à son climax.
Enfin, si on considère la productivité littéraire. Techniquement, j'ai produit presque 6000 mots de bordel pour mes cours de sciences physiques et même quelques schémas, mais je ne vais pas vous les présenter.
Parce que oui, pour les deux du fond qui ne suivent pas, je suis prof de physique-chimie. Pas pour longtemps, mais je le suis actuellement. J'ai tout à fait mérité ce boulot et je m'applique à continuer de le mériter.

Néanmoins, le mois dernier j'ai lancé un petit chose sur le ouèbe : une novella feuilletonnante intitulée Saxifrage. Ça parle d'un type qui a perdu un bout de mémoire dans un monde futuriste et qui s'échine à le retrouver. C'est censé être moins déprimant que mes dernières productions, il m'est même arrivé de sourire en corrigeant.



Si tout va bien, une nouvelle mise à jour sort demain. Si tout va bien, il y aura une mise à jour le mardi toutes les deux semaines. J'ai bien conscience que ce n'est pas assez mais c'est un projet pour me mettre un pied au cul, pas pour trouver la gloire.

Je ne crois pas que je sortirai grand-chose d'autre d'ici à la fin de mon contrat : je suis toujours à flux tendu sur les cours, malgré mes tentatives pour prendre de l'avance. Comme à l'époque de Cent-quatre-vingt-quatre !

D'ailleurs, je repense à cet autre blog. Un de ces jours, je voudrais le ressusciter. Sans la mini-expérience que je me suis imposée en vulgarisation scientifique, j'aurais été beaucoup plus paniquée pour prendre mon boulot de prof. Et avec l'expérience de prof que je fais en ce moment, je me dis que j'acquière peut-être ce qui me manquait pour rendre Cent-quatre-vingt-quatre accueillant et lisible. Donc, je ne désespère pas.

Je suis un peu grognon parce que je voudrais écrire plus, voire enregistrer plus, et que je n'arrive pas à le caser dans mon emploi du temps...

Un jour, gens. Un jour.

Bon mois à vous !

@now@n