Quinzaine n°40 - maman j'ai raté l'avion


Bonjour et bienvenue dans la quinzaine n°40, une quinzaine un peu rigolote puisque je vais être seule à la maison. En effet, si je n'en fais pas beaucoup la publicité, je vis en communauté de deux personnes avec un homme formidable qui a fait des sagas MP3 remontant à sa lointaine adolescence et devenant de plus en plus hilarantes à chaque épisode, et notre communauté de vie est assez détendue pour que ce ne soit pas un souci qu'une personne parte en vacances sans l'autre.

Bon, il me manque déjà, mais ça c'est un autre problème.

Ai-je réussi à faire quelque chose de la quinzaine précédente ? Oui :

  • Recherche d'emploi : j'ai fait le max. Je ne vois officiellement pas ce que je peux faire d'autre. J'ai une quantité de candidatures dans la nature qui me fait regretter de ne pas les avoir recensées dans un tableur pour pouvoir noter au fur et à mesure qui m'a recontactée ou non.
  • Mirage tome 2 : j'ai avancé dessus. Pas assez. Coup de collier à prévoir.
  • Crowdfunding : la maquette de la couverture est arrivée à un degré satisfaisant d'avancement pour que je puisse passer à la version finale de la couverture, qui reste à faire. Un petit peu de travail encore à prévoir à l'intérieur du document parce que j'ai été prise d'une soudaine envie de remplacer les * marquant les changements de focalisation au sein d'un chapitre par un dessin maison. 

On peut noter aussi que ça fait trois semaines d'affilée que j'arrive à écrire un chapitre de fanfiction par week-end et à le poster sur ao3, ce dont je suis contente parce que c'est une forme d'écriture qui me vient facilement et qui me donne un haut ratio "bonheur/effort".

Ça, c'est sympa ; maintenant que faire de cette quinzaine si particulière où je suis seule chez moi ?

  • Mirage partie 7 : passer mes soirées seules c'est l'occasion de mettre la gomme sur la rédaction des chapitres 66 à 70, voir de la terminer.
  • Mirage mise en page : il faut la finir.
  • Mirage couverture : il faut la finir.
  • Mirage les exemplaires de démonstration : il faut les commander.

Vraiment, toutes les balles sont dans mon camp, je n'attends plus rien d'aucun prestataire, il faut que je me remue. Notez que je suis empressée mais que je ne me sens pas coupable : même les éditeurs ont du retard sur leurs plannings, ça doit faire partie du processus de mélange entre littérature et business.

À la prochaine quinzaine.

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