Au coin du feu, nouvelle

Le petit ? Il n’y a pas grand-chose à dire dessus.
Le chef d'une armée destinée à unir les royaumes désunis s'intéresse de près à une magicienne lancée aux trousses des assassins de son fils. Il a une proposition à lui soumettre ; elle n'a rien à y gagner.
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Ce qui suit est du commentaire de texte.

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C'est quel genre ?

Je ne lis pas de dark fantasy.

Je ne ressens pas d'attrait pour les quelques éléments caractéristiques du genre tel qu'on me l'a présenté : la violence, le pessimisme, la sombreur, le désespoir.

Juste une fois, pour déconner, j'ai pondu ce petit texte qui tombe exactement dans le travers de la mauvaise dark fantasy telle qu'on me l'a présentée : au milieu de la violence, du pessimisme, de la sombreur et du désespoir, le personnage principal décide de faire un truc ridiculement altruiste comme recueillir une pauvre petite fille orpheline alors que toute sa vie lui a appris que c'était une idée foireuse qui le ferait tuer.

Ainsi, alors que le reste du texte vend un univers plein de saloperies, le narrateur, Dark_Jesus_666 (vous noterez que le narrateur n'a pas vraiment de nom), fait des trucs de gentils comme protéger les femmes et les enfants.

Du coup, si c'est de la mauvaise dark fantasy, comment pourrait-on l'appeler ? De la D4RK F4NTASY ?


Le système de magie

Je vais vous dire un secret : généralement, quand j'écris une nouvelle de fantasy, c'est juste un prétexte pour caler un mini-système de magie qui n'a pas de place dans mes gros projets mais que je trouve cool.

Celui-là est à base de tatouages bleus qui bougent et forment une réserve de mana. Là où c'est D4RK, c'est qu'il faut se les tatouer avec des grosses aiguilles.

Symbolique aux gros sabots : le bleu sombre des tatouages (donc de la magie) s'oppose à la lumière chaleureuse du feu qui fait le titre. Le chef de guerre propose à la magicienne de renoncer à se venger individuellement pour se venger "collectivement" - en l'aidant à créer un monde où ce qui lui est arrivé ne se reproduira pas. C'est donc l'histoire d'un passage de l'ômbre à la lumiêre - je l'avais dit que c'était niais.


Et après ?

Et après, rien. J'ai de vagues idées pour une série de suites à titres clichés - Au fil de l'eau, Sans en avoir l'air, Terre à terre - mais pas d'idées suffisamment cools ni de motivation pour m'y mettre.

Fut un temps où je voulais faire enregistrer la nouvelle à Isthun pour la monter façon livre audio, mais j'y ai renoncé : j'ai récupéré sa voix pour Tout le monde aime le prof.

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