Bulletin du 2 juin 2024

Bienvenue dans ce dixième bulletin. Incroyable mais vrai : vous auriez pu le recevoir dans votre boîte mail si vous l'aviez voulu. Étonnant, non ?


Vous avez raté mes sorties ? C'est pas grave, je vous les récap ici.

SÉDUIS-MOI SI TU PEUX et ET MÊME APRÈS JE T’AIMERAI : ENFIN LA FIN !

Le mois est à marquer d’une pierre… bon, n’exagérons rien, le mois est à marquer d’un caillou grisâtre, parce que j’ai enfin posté les chapitres manquants à mes deux fanfics de Colossale (webtoon de Diane Truc et Rutile, trouvable sur le net et adapté au format papier disponible dans toutes vos librairies avec du goût pour la production française) et que c’est ça de moins à l’arrière de ma tête.

Je rappelle que l’une shippe du Jade/Héloïse en mode mariage arrangé et que l’autre shippe du Alexandre/Nathanaël/Simon et re/Alexandre derrière n’importe comment en mode pari stupide.

J’en suis plutôt contente et j’en ferai un petit article de post-mortem.

#WRITEVER : CEUX DE MAI

En mai, Ketty Stewart l’organisatrice du jeu littéraire s’est fait un kif : on est parties au Brésil pour une liste pleine d’ordre et de progrès. J’ai rempli ma petite liste deux fois, une sur Mastodon, une sur Bluesky, et au cas où je ne serais pas clair ce sont des micronouvelles différentes pour chaque réseau social sinon ce ne serait pas drôle.


Parce que je suis pas la seule à faire des trucs, voici des recommandations !

Voici quelques petites choses que j’ai lues ou vues au mois de mai et qui ne sont pas encore complètement obsolètes.

FILM : Comme un lundi

Comme un lundi est un film fantastique dans les deux sens de “pourvu d’éléments surnaturels” et “très bien filmé” et dont l’intrigue tourne autour d’une boucle temporelle ; les employés d’une petite agence de comm’ revivent la même semaine en boucle, et là vous allez vous dire “ah oui la routine le train-train quotidien” mais en fait non ! C’est littéralement la même semaine en boucle ! (C’est une des premières blagues du long-métrage, je ne vous ai presque rien spoilé.) Le film profite de ce rapprochement pour poser la question : qu’est-ce que j’ai fait de ma semaine, qu’est-ce que j’ai fait de ma vie ? Je l’ai adoré et si vous arrivez à capter une séance, allez-y.

(Le film a un site Internet officiel que je ne sais pas lire.)

NOVELLA : Les Choses immobiles

Les Choses immobiles est la meilleure préquelle de Tè Mawon que je ne savais pas avoir besoin de lire pour réapprendre à apprécier Tè Mawon (j’extrapole peut-être un peu le propos vu que j’ai pas vu la promo appuyer là-dessus mais je trouve qu’à un moment y a des indices, pis pourquoi Mnémos vous révélerait que le bouquin qu’ils veulent vous vendre est une préquelle d’un bouquin de chez La Volte ? C’est dur le capitalisme.)

C’est aussi le premier des romans de Michael Roch qui me permet d’envisager de le croiser un jour, de le regarder dans les yeux et de lui dire “j’ai beaucoup aimé votre dernier roman d’ailleurs je n’ai aucune critique à faire dessus”. À croire que plus un auteur vieillit, écrit et publie, et meilleures sont ses œuvres ; étonnant, non ? (Cela dit je ne devrais pas faire la mariole puisque je n’ai pas vraiment lu Tè Mawon, j’ai lu les épreuves non-corrigées de Tè Mawon, ce qui n’est pas la même chose.)

Je recommande donc le bouquin à tous les gens qui étaient déjà fans de l’auteur avant, et aussi à tous les connards dans mon genre qui trouvaient que les bouquins précédents manquaient d’un truc.

VIDÉO : “Signez votre art, ne le datez pas”

Je suis tombée sur cette vidéo qui parle, très pragmatiquement, de l’importance de signer son art. Je me disais que ça pouvait peut-être servir, alors hop, voilà, c’est reco, c’est cadeau.


Vous voulez me casser la gueule, m’acheter des livres sous le manteau ou juste discuter ? Voici où m'attraper.

EN LIGNE

Vous pouvez me retrouver aux endroits suivants :

Et, si vous voulez m’entendre dire n’importe quoi dans une émission de quiz en compagnie de mon partenaire de vie Isthun, vous pouvez écouter la dernière émission de Le Duel en différé ! (Ma participation n’était pas annoncée au bulletin du mois dernier parce qu’on l’a décidée à la dernière minute.)

HORS-LIGNE

Pas de conventions en juin. Rappelez vos hommes de main, c’est un mois où se reposer pour eux !


C'est la fin de ce bulletin. Il était grand temps, déjà qu’il a un jour de retard.

Je retrouve enfin une sorte de routine grâce à l’influence de mon nouveau boulot (le travail nourrit l’art, tout ça). J’ai bon espoir de me sortir du bourbier créatif où je m’étais perdue. J’ai des comptes à rendre au lectorat de Mirage : ça attendra probablement quelques semaines encore.

D’ici là, portez-vous bien.

@now@n

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