News du 18/04/17

Salut tout le monde !

Je tiens à présenter mes excuses pour l'illustration du mois de ce mois-ci, qui agresse particulièrement les yeux. Mais bon, tant qu'on ne m'aura pas retiré mes logiciels de dessin, je suppose que vous allez devoir supporter mes âneries (mes @nories ?)

Parlons peu, parlons :

1] Blāūg !
2] Saxifrage !
3] Vraie vie !



Blāūg


Je suis hyper-contente de l'accueil reçu par l'article de la semaine dernière. Je marchais sur des œufs en le postant parce que vulgariser, non seulement c'est un vrai métier, mais en plus je voudrais que ce soit le mien, alors j'avais assez intérêt à ne pas me louper.

Blogger m'indique un nombre de "clics" ou de "vues" de l'article, sans préciser si les gens l'ont vraiment lu après l'avoir ouvert ; depuis mardi dernier, il a atteint 244. C'est parfaitement dingue. Quand bien même tout le monde ne l'aurait pas lu - après tout, faute de commentaires, je n'ai que la parole de trois-quatre personnes - le fait qu'il a été diffusé à ce point me flanque le vertige.

Du coup j'en referais bien un le mois prochain avec le même genre de démarche - choper un "fun-fact" ou une affirmation rigolote sur un domaine que je connais bien et l'expliquer très sérieusement - mais si je ne trouve pas l'occasion je dépoussiérerais bien le premier article de Cent quatre-vingt-quatre - le seul valable - pour le remettre ici.

À l'époque de Cent quatre-vingt-quatre j'avais fait ce pari d'écrire un article par semaine alors que je ne savais pas m'y prendre ; je n'ai pas su trouver un format suffisamment court pour me permettre d'avoir une qualité décente - vous aurez noté que j'aime étaler du verbiage en long en large et en travers - et j'ai pondu des textes de moins en moins pertinents jusqu'à laisser tomber le blog de honte. Cette fois-ci je voudrais n'écrire qu'un article "science" par mois, deux si j'arrive à arrêter de pondre des pavés indigestes.

Pis j'ai pas que ça à écrire, aussi.


Saxifrage


J'avance doucement sur l'écriture du premier jet de la V3, qui sera la seule version a avoir été rédigée jusqu'au bout du plan.

Comme vous le savez (quoique j'ai un doute, est-ce que vous le savez ?), l'histoire n'est censée comporter que trente chapitres très courts (genre une page chaque). J'ai peur de déborder de ces petites cases, mais si je me débrouille bien et que je rush la narration (tout est raconté beaucoup trop vite pour l’œil humain dans Saxifrage), le tout peut tenir dans les cinq chapitres restants.

Au pire, j'ajoute cinq chapitres s'il faut vraiment diluer. J'arrive à la fin de l'action et je n'ai plus qu'à dérouler la conclusion de toutes les intrigues ouvertes.

Mais le pari d'avril n'est pas encore gagné car la vraie vie a des plans.


Vraie vie


Je pars à l'étranger ! Je serai en Irlande pendant une courte semaine. J'appellerais bien ça des vacances si j'avais un vrai travail à vrais horaires fixes, mais eh. Je me connais, je n'écris pas bien quand je ne suis pas chez moi, donc ça risque de compromettre l'écriture de Saxifrage comme celle d'articles pour le blāūg. (Encore que, l'année dernière en Écosse j'ai écrit le plan d'un roman entier pendant une insomnie sans la moindre base, c'était une expérience assez étrange.)

Accessoirement je dois essayer de conjuguer mon travail, qui sera beaucoup plus intense en mai/juin/juillet qu'il ne l'a été en avril, et les activités de loisir genre écrire. Les "projets du mois" vont souffrir : si j'ai un chapitre à écrire et une séance de boulot à préparer, guess what, je vais préparer ma séance de boulot. (Et là vous allez me dire que je bosse depuis mars, mais justement, le projet de mars était léger et je l'ai échoué).

Aussi, mon compagnon veut se lancer dans un projet d'envergure et je voudrais y participer convenablement, ça va s'ajouter aussi.

(Si vous êtes étonnés que j'évoque un "jonglage compliqué" entre si peu de trucs, eh bien, je dois vous avouer quelque chose : je ne suis pas douée du tout pour l'organisation. Je perds un temps considérable à cause de ça. Ce n'est de la faute de personne sinon la mienne et vous êtes libres de me mépriser.)


Je crois que j'ai rempli le cahier des charges pour cette news. Je vous souhaite une très bonne fin de journée et je retourne à mes moutons !

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