Illustrations de Saxifrage


Parce que je n'avais pas d'article dédié pour les illustrations de Saxifrage.

Elles sont toutes dessinées à la souris sous GIMP à l'aide du pinceau le plus bateau possible, certaines avec des références, d'autres non, puis passées sous un filtre qui mélange et bricole les couleurs pour donner à l'image un aspect censément "crayonné". J'ai utilisé ce truc parce que les illustrations n'étaient pas très intéressantes par elles-mêmes ; avec un peu de flou, ça passait mieux.

Rappel que vous pouvez trouver le roman publié sur un autre blog, en version "clair sur foncé" ou "foncé sur clair", ou alors en un fichier ePub créé par Alex ; si le papotage que j'écris autour de mes publications vous intéresse, l'article concernant Saxifrage est là.


Le réveil de Valer


Cette illustration est la seconde que j'ai dessinée, après "Valer et Omi arrivent à un laboratoire", et sans inspiration du tout. Du coup j'ai juste fait ce tout petit bonhomme allongé sur une plaque de verre bleutée, comme il est décrit dans le chapitre 1 de Saxifrage. L'apparence de Valer est fixée par l'improvisation du précédent dessin.


La destruction de la Terre


Cette illustration est la troisième que j'ai dessinée pour Saxifrage, dans la foulée de la précédente. Elle représente la Terre en train d'être détruite par le phénomène décrit dans le chapitre 6 de Saxifrage. Elle est fainéante et j'ai décidé de vivre avec.

La précipitation d'un nouvel Univers


Cette illustration est une tentative de figurer des particules élémentaires en train de naître. Ce sont surtout des taches de couleur.


Valer et Omi arrivent à un laboratoire


Cette illustration est la première que j'ai faite, sans projet en tête, juste parce que j'avais envie. Elle n'utilise pas de références et ça se voit. Une fois que j'ai eu cette idée saugrenue d'utiliser des illustations bricolées pour rendre un peu plus sympathique la sortie du feuilleton, j'ai planché sur les autres et j'ai fait beaucoup, beaucoup plus simple. Je n'avais pas d'idée très fixée de l'apparence de Valer et Omi avant ce dessin ; j'ai surtout essayé de leur donner une palette de couleurs qui ne blesse pas les yeux. La seule chose fixée dans le récit, c'était que Valer a les cheveux mi-longs.


Bhdra sort quelqu'un du puits


Cette illustration a été faite à partir d'une référence de deux personnes se tenant par le poignet. Elle est censée représenter Bhdra qui tire, depuis le haut, la Méduse qui se trouve plus bas. Le fond est sombre afin de me faciliter la vie. Il y a un détail sur la peau de Bhdra qui aurait mérité une référence : je ne suis pas sûre que les parties plus claires devraient commencer et s'arrêter aux endroits où elles le font (sur la peau qui pend entre le pouce et l'index et sur l'intérieur du bras). Heureusement que la Méduse n'a pas une couleur de peau naturelle : pour elle je peux m'en tirer en prétendant que son absence de reliefs est totalement faite exprès.


La Verte monologue sur Valer



Pour cette illustration-là qui devait être la dernière de la publication j'ai pris sur moi de lutter contre ma flemme et je me suis un peu plus forcée, ce qui fait qu'il y a un fond pas seulement uni et plus de détails. Le moment illustré est celui où Valer est prisonnier dans les entrailles de la Verte, et où celle-ci lui remue son aquarium plein de saxifrage sous le nez en lui déclarant qu'avoir sauvé une plante ne va pas le sauver lui. Valer est représenté de profil, ce qui veut dire qu'il a canoniquement un menton mais pas de bouche ni de nez ni d'oeil droit, à moins que ce manque de traits ne soit une convention de dessin.

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